Ceux qui s'effrayent de ses progrès ne le comprennent pas(...) Il ne veut qu'ouvrir à tout le monde les portes du théâtre et du roman, afin que tout ce qui est puisse y entrer. On croit qu'il veut ôter au style toute poésie et changer le français contre l'argot: il demande seulement que des personnages littéraires parlent comme parlent les personnages réels (...) Tout porte à croire qu'il triomphera: il a pour lui des écrivains de talent; M.Zola, c'est-à-dire un défenseur qui ne se ménage pas; toute la jeunesse littéraire, c'est-à-dire l'avenir.
Eduard Rod, À Propos de l'Assomoir, 1879, Paris.
Ceux qui s'effrayent de ses progrès ne le comprennent pas(...) Il ne veut qu'ouvrir à tout le monde les portes du théâtre et du roman, afin que tout ce qui est puisse y entrer. On croit qu'il veut ôter au style toute poésie et changer le français contre l'argot: il demande seulement que des personnages littéraires parlent comme parlent les personnages réels (...) Tout porte à croire qu'il triomphera: il a pour lui des écrivains de talent; M.Zola, c'est-à-dire un défenseur qui ne se ménage pas; toute la jeunesse littéraire, c'est-à-dire l'avenir.
Eduard Rod, À Propos de l'Assomoir, 1879, Paris.